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Témoignages
"Cela faisait plusieurs mois que je me sentais à bout de souffle, en proie à mes émotions, avec le sentiment de ne plus rien maitriser, perdant pied dans ma vie de couple et dans ma vie de famille. Puis, une newsletter de Valérie, et une intuition qui dit : « c’est elle dont tu as besoin pour avancer ».
Dès la première séance, une mise en confiance, une écoute pleine de bienveillance et des mots qui touchent « justes ». L’alternance entre des rencontres en individuel ainsi que celles en couple ont été exactement ce qu’il nous fallait. L’immense plus pour moi a été de pouvoir lui laisser des messages en tout temps, de savoir que j’étais entendue, avec des retours rapides, parfois déroutants, et me permettant à chaque fois de continuer mon cheminement plus sereinement.
Encore un immense MERCI Valérie pour ton accompagnement qui a permis à toute notre famille de mieux se comprendre, de vivre nos émotions et de nous retrouver."
Carole
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Ma rencontre avec Timéo, le 21 juin 2013, fût sans conteste le plus grand moment de ma vie. Ses grands yeux déjà ouverts sur le monde et cette immense responsabilité ! J’en avais le vertige et c’était grisant.

Jamais je n’aurais imaginé qu’un si p’tit bout pouvait à ce point exacerber les émotions. La joie bien sûr, mais aussi la peur – peur de ne pas être à la hauteur en tant que maman, peur qu’il ne rentre pas dans le moule-, la colère – celle qui nous submerge parfois et dans laquelle on ne se reconnaît plus- et la tristesse aussi quand on réalise qu’on a fait du mal.

Dès son entrée à l’école, Timéo a rencontré des difficultés. Et pour l’enseignante que je suis, c’était inacceptable. Jusque-là, je pensais avec certitude et sévérité que les enfants en échec scolaire étaient ceux dont les parents ne s’occupaient pas suffisamment. Les cartes sont redistribuées aujourd’hui et les certitudes sont tombées.

Le cycle « Vivre et grandir ensemble » m’a appris à accueillir aussi bien mes propres émotions que celles de mes enfants (et de mon mari !), à dilater la mini-seconde qui est décisive avant de péter un plomb et éviter ainsi de laisser éclater la colère, à mettre de la joie au sein de ma famille à travers le jeu, à écouter l’autre sans juger, … Bref, à m’approcher un peu de la maman que j’aimerais devenir.

Le chemin est encore long pour devenir cette maman, mais il est tellement beau et rempli d’amour que le jeu en vaut la chandelle. C’est sûr.

Et comme le disait Mahatma Gandhi « Les meilleurs enseignants sont les enfants. »

Bonne route à toutes et tous sur le chemin de la parentalité positive !

Christina

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